Ce numéro neuf est un petit anniversaire qui marque les six mois de mon départ de la big tech. Déjà ? Dans ce numéro, par un exemple je vous parle de mon processus créatif de la photographie à la peinture, les liens que j’entretiens entre mes deux arts. Je vous donne tous les détails de mes deux expositions aux salons des artistes du 15e à Paris.

Dans ce numéro huit, je vous parle de recherche spirituelle, de mon idéal en tant qu’artiste. Quel est mon message ? D’introspection aussi, avec un petit retour dix ans en arrière – j’aime fouiller dans mes archives, celles de mes photographies, comme celles de ma mémoire.

Dans ce numéro sept, je vous parle de mon retour d’un grand voyage. De la créativité que j’ai pu y développer, en imaginant comment cela infusera dans ma vie artistique. Du rapport au risque, petites anecdotes à l'appui. De voyager en prenant le temps. Bonne lecture, et bon voyage !

Dans ce numéro six, je vous parle de légèreté, de sa nécessité pour commencer quelque chose sur le long terme – une activité, un apprentissage, une œuvre. À l’opposé de l’instantanéité du monde de la tech que j'ai quitté, je vous parle de mes projets que je laisse mûrir pour un temps long, du paysage en photographie jusqu’au portrait en peinture.

Aujourd’hui, je vous écris alors qu’avec une ironie du calendrier, j’effectuai mon dernier jour dans la big tech le 30 avril, veille de la fête du travail. Les périodes de grands changements sont propices à se plonger dans les souvenirs, je voulais vous en partager quelques uns – des événements qui infusent ma création artistique actuelle.

Je suis maintenant à moins d’un mois de mon départ de la big tech ! Aujourd’hui je vous parle des raisons qui m’ont conduit au long apprentissage de la peinture, alors que je traversais une période troublée de ma vie. Je vous dévoile mes récentes explorations en peinture et en photographie, à la recherche de mes paysages intérieurs par la couleur.

Aujourd’hui je vous parle de gris, puis de couleurs. Avec un événement très gris dans un club photo, il y a dix ans, qui a malgré tout fait germer des graines. De mon malaise des grands bureaux gris que je quitte. Un peu de mon évolution artistique de ces dernières années, une recherche vers la couleur – mes paysages introspectifs.

Il y a des décisions personnelles qui ont une résonance toute particulière, lorsqu’elles sont prises dans le maelström de l’actualité. Je vous écris cette lettre alors que je quitte un Gafam, le « M », parmi ces grandes entreprises américaines de la tech, si présentes dans le flux d’informations actuel de ce début d’année 2025.